Parution depuis le 15 décembre 2009 du n°2 de la revue littéraire "Esprits poétiques" - Le Capital des mots ( éditions Hélices) comprenant une vingtaine d'auteurs parmi ceux qui ont été publiés sur le blog Le Capital des Mots : Fabienne Alliot, Max Alhau,...
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Ma langue est cheval galop de ses mots Je tombe dans un fossé de vers Qui me relèvera ? Congères de poèmes où neigent les voyelles Ma langue est jument galop de mes mots J'ai peur dans la nuit des hivers du poète J'ai peur de perdre l'émotion et son...
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Il est temps de changer de langue Je suis las de mes certitudes aspire à l'inconnu m'offre la fleur de lotus Il est l'heure de changer de parfum Jour où on change d'amour Il est l'âge de changer de désir Je piétine mes ennemis freine le destin Aube nouvelle...
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Poreuses pierres de mes souvenirs semées au fil des vers c'est votre seconde mort Je veux écrire désormais l'éphémère pour de nouvelles jeunesses sacrifier mon enfance pour soigner la misère Que chacun élise domicile Les mots ne sont pas seuls à être...
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Photos de L'or de la mémoire en collaboration avec Georges Badin, Livre pauvre, Daniel Leuwers. Le texte fait l'objet de la genèse ou chantier de poème n°2 classé ici dans la rubrique " catégories " et publié en 2010 dans la revue Diptyque n°1 Le peintre...
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Mon clavier est piano où jouent les R du temps heureux A mon corps défendant rétif rebelle j'ai beau essayer de renâcler je persévère dans mes airs d'antan J'ai oublié l'avenir et mon Apollinaire : Hommes… souvenez-vous de moi !
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Lettre au peintre Georges Badin pour son opus, Livre à Deux Voix,publié chez AEncrages et Co, collection Oculus Votre livre est à lui-même un petit bijou. L'oculus, regard réciproque pour moi de l'artiste et du spectateur, me fascine. En ouvrant l'ouvrage...
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J'en ai assez de ces romances elles gâchent les jours de mon passage Donne à la place toutes les peines de maintenant même les horreurs des jours à venir J'en ai assez de ces romances des nostalgies de nos antans Mes joues sont sèches Je suis vieillard...
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A Rose Grand- mère qui couvrais nos amours quand nous partions sans crier gare tes oraisons faisaient arriver les oiseaux les coquelicots riaient dans les champs vert irlande et ta chambre attendait son décor cette copie du Cri que j'accroche ce matin...
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"J'émerveille" a dit Apollinaire. Un blog qui veut honorer la poésie et transmettre la joie qui s'attache à la création littéraire. La lecture et l'analyse des œuvres sont un passage obligé vers l'écriture personnelle. De nombreux articles témoignent ici de cette expérience personnelle.